Et oui comme dirait l’autre « les arbres ne montent pas jusqu’au ciel » à un moment ou à un autre ça retombe plus ou moins violemment.
Dans les incohérences actuelles la bourse n’a jamais été aussi haute alors que la situation économique et politique est plutôt tendue.
Après il y a certainement un effet papy boomer avec une arrivée de retraités (dont je fais partie) plus importante ces dernières années donc en proportion plus de candidats à la plaisance et qui ne veulent plus attendre pour se faire plaisir.
Tout ça n’est pas vital certes mais se limiter au vital n’est pas vivre mais plutôt survivre et ce type de décision d’acheter un bateau n’est pas tout à fait rationnelle ni raisonnable. Nous avons la chance de pouvoir le faire c’est déjà énorme.
Quoique j’ai par le passé fait confiance à des institutions bancaires renommées pour envisager des placements de bon père de famille pour la future retraite à l’époque pour au final perdre plusieurs dizaines de milliers d’euros en bien peu de temps, j’aurais mieux fait d’être inconscient et me payer une voiture de sport qui elle aurait pris de la valeur et m’aurait donné le sourire.
Donc pour le bateau je n’ai pas trop réfléchi quand j’ai pu m’en acheter un, je l’ai d’ailleurs revendu plus cher que je ne l’avais acheté pour m’en acheter un autre un peu plus gros. Et je pense que je ne perdrais pas trop sur l’actuel sachant que je l’utilise entre 70 et 100 heures par an, la location occasionnelle étant bien trop chère si on loue plus d’une semaine par an.
Sinon l’utilisation partagée multi région aurait un sens sur le papier mais cela risquerait de faire encore monter les prix.
Pour conclure le bonheur d’avoir un bateau (quand c’est son souhait) n’a pas de prix, donne la banane et du coup n’alourdît pas le déficit de la sécurité sociale, geste citoyen en quelque sorte