Voir ICI ... sur quoi je viens de tomber …

un extrait ci-dessous
La taxe farine bientôt à la trappe
Dans cette somme de 148 pages, ils proposaient d’aller beaucoup plus loin dans les «suppressions» que le gouvernement actuel ne l’envisage : «sur les 192 taxes et impositions de toute nature […] examinées, soulignaient-ils, au moins 68 pourraient être supprimées et 32 regroupées». Dans leur scénario dit «de rupture», les rapporteurs ne laissaient en vie qu’une petite trentaine de taxes… Coût pour le budget de l’État : 800 millions d’euros dans la version la plus soft et plus de 3 milliards pour le scénario le plus osé.
Parmi les contributions que l’IGF proposait de faire disparaître, on retrouve notamment une taxe sur certaines dépenses publicitaires, une autre sur les céréales, sur les médicaments pharmaceutiques vétérinaires, sur les spectacles, un prélèvement sur les films pornographiques ou d’incitation à la violence, la taxe balayage que récoltent les communes, une contribution sur les remontées mécaniques, les produits cosmétiques, les appareils automatiques, les droits de francisation et de navigation ou encore une taxe sur le sucre et la fameuse taxe «portant sur les quantités de farines, semoules et gruaux de blé en vue de la consommation humaine», dite «farine», qui pourraient bien être dans la liste du gouvernement. «Celle-ci, tout le monde est d’accord pour la supprimer», confirme le député LREM du Val-de-Marne, Laurent Saint-Martin, en pointe à l’Assemblée sur ce sujet des «petites taxes».
Dans ce même rapport, l’IGF listait a contrario d’autres taxes jugées «utiles» qu’il convenait de maintenir. Celles, par exemple, sur les alcools, les jeux d’argent, les activités polluantes et autres contributions dites «pigouviennes» – du nom de l’économiste britannique Arthur Pigou - censées entraîner une modification des comportements.Bon, .. maintenant, … restons prudents …
Si dans l' absolu, le principe de faire sauter ces taxes répond AUSSI à une logique "économique" , car au final cela peut coûter plus cher à encaisser que çà ne rapporte ….
Pour ce qui concerne par exemple le DAFN, qui est une source de financement du conservatoire du littoral, si cette ressource n'existe plus …
comment sera financé le "C d L" ?? 
Bref, … restons prudent sur ces … " effets d' annonce "

.
Et même si la loi est votée, … quand on sait le nombre de
textes de loi qui ont été votés mais ….
QUI NE SONT PAS APPLIQUES CAR LE DECRET d'APPLICATION N'EST JAMAIS PARU au JOURNAL OFFICIEL 
… çà laisse rêveur …
Je conclurai donc à la "
Georges PERNOUD de
THALASSA" : "
c'est un dossier que nous suivrons "